mercredi 26 mars 2008

Boycott


C'est le Président du Stade Français qui lui a rendu le plus bel hommage : "...C'était quelqu'un de bien, passionné, profondément droit et gentil, avec des convictions..."
Trop profondément droit même, sans doute.
Plutôt que de commenter la mascarade olympique de Pékin, Thierry Gilardi a préféré s'éclipser, d'un infarctus.
Mais que les "amateurs" se rassurent, il y a déjà une bonne dizaine de crocodiles qui frappent à la porte...
Pour prendre le relais.

☛ Gilardi commente le coup de boule