C'est Roger Karoutchi, le secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement qui l'affirme : "L'impopularité du Président est liée à la vigueur des réformes." Mais, bon sang de bois, des réformes où ça ? On vous assure que c'est pas de la mauvaise volonté, mais nous, on voit surtout une succession de bourdes. Pour les indécisions les moins graves, parce que pour les autres... "Il faudra juger dans quatre ans." Eh oh, ça va pas la tête ? On refuse d'attendre jusque là. D'ailleurs, on ne juge pas, on condamne direct !
Il n'y a pas de petites économies, comme dirait Sarkozy.