Mardi 22 septembre 2009, au petit matin, les forces de l'ordre dit républicain ont procédé au démantèlement de la "jungle" de Calais. 276 migrants, dont 135 mineurs, ont été interpellés de façon musclée, plusieurs militants ont été arrêtés. Le porte-parole de l'UMP, le désopilant Frédéric Lefebvre, a déclaré que "ceux qui défendent le maintien des clandestins dans des conditions indignes sont par leur inaction complices de ces drames humains".
Les membres du gouvernement Fillon ont aussitôt été placés sous mandat de dépôt.