samedi 30 janvier 2010

L'appel et les Sceaux


Deux absences de doute, une certitude, et un film...
Aucun doute sur la culpabilité de Villepin. Il a tenté de profiter d'une situation pour abattre un adversaire politique. C'est une faute contre un homme. Mais on vous avait prévenus : la complicité passive de dénonciation calomnieuse n'existe pas en France. L'avocaillon élyséen est entouré d'amateurs.
Aucun doute sur la responsabilité de Sarkozy. C'est lui qui a commandité l'appel interjeté par le procureur. C'est une faute contre la démocratie. Et une erreur politique.
Une certitude, les deux sont totalement dépourvus de sens moral.
Et un film : Sarkozy versus Villepin, c'est un peu Hot Shots 2...

Ze vais te tuer zusqu'à c'que tu sois mort !

☛ Hot Shots 2